Une liposuccion réussie c’est d’abord un poids stabilisé avant l’opération. Bien que le résultat puisse satisfaire au bout des deux premiers mois (dès l’apparition des œdèmes), il arrive dans certains cas que les patientes reprennent du volume.
Ce cas de figure est souvent le cas si la patiente ne stabilise pas son poids et fait l’opération contre les recommandations du chirurgien.
Même si les contours de la silhouette soient à nouveau dessinés, la graisse qui pouvait être éliminé par le régime et le sport sera toujours là et risque d’augmenter.
C’est pourquoi, il faut commencer par éliminer cette graisse pour laisser le chirurgien viser la graisse localisée en profondeur et l’aspirer afin d’
affiner la silhouette.
Différence entre la graisse éliminée par la liposuccion et la graisse superficielle
Comme son nom l’indique, la graisse superficielle part par l’exercice physique et le régime. Celle-ci n’est pas visée par la liposuccion, c’est justement la graisse qui résiste aux régimes et au sport.
La liposuccion vise plutôt la graisse qui se forme à cause de perturbations hormonales, de stress et des gènes. C’est une graisse localisée en profondeur est plus dure que la graisse superficielle.
Afin de garantir la réussite de la liposuccion et d’avoir un résultat qui dure longtemps, il faut atteindre un
IMC de 20 ou 25 et stabiliser son poids.
En définitive, l’aspiration du surplus adipeux ne se fait pas pour traiter les problèmes de surpoids. Ce n’est pas une technique de perte de poids, la liposuccion permet plutôt d’éliminer les bourrelets qui ne partent pas suite aux régimes ainsi que le petit ventre.
La liposuccion redessine les courbes du corps.